Comme nous l'avons expliqué précédemment, le cerveau est comme le centre de contrôle de notre corps. Il gère l'intéraction entre le mouvement souhaité et l'éxécution faite par la prothèse. C'est par le biais de neurones et de motoneurones que le message nerveux envoyé parvient jusqu'au muscle. Une contraction est produit par la suite. Des électrodes placés sur la zone d'amputation du muscle captent le signal éléctrique et l'envoie jusqu'au moteur de la prothèse qui activera la robotisation de la prothèse.
Les progrès techniques et médicaux suite a la révolution industrielle, ont permis une meilleure prise en charge des amputés de guerre dans un premier temps. La découverte et la maîtrise de nouveaux matériaux comme le carbone, le titane ou bien encore du caoutchou ont permis de fabriquer des prothèses de plus en plus perfectionnés mais également de plus en plus agiles.
Pour conclure on peut dire que la prothèse aujourd'hui permet de reproduire les gestes simples de la vie quotidienne. En effet, la prothèse réussie à reproduire jusqu'à 99% des gestes humains, ce qui améliore considérablement le quotidien d'une personne amputée d'un membre.
OUVERTURE :
Une équipe du campus Bio-Medico est en train de perfectionner une prothèse: le projet LifeHand2, dotée de capteurs électriques situés au bout des doigts qui enregistreraient des données ( pression, température, etc..) recréant pour le patient des sensations de toucher.
Cette prothèse a été implantée en 2013 chez un patient à des fins expérimentales. Cependant, malgré les résultats encouragents, elle n'est pas encore commercialisée. Il faudra encore attendre quelques années pour bénéficier d'une telle avancée...
Nous pouvons nous demander jusqu'où les avancées de la prothèses iront-elles ? L'homme trouvera-t-il une limite au progrès? Et quel en sera l'impact sur la société?